Charlotte Hubert
Charlotte Hubert est née le 27 mars 1984 à 7h55 à la Clinique Notre-Dame de Grâce de Nantes, elle vit à Paris et travaille partout sur la terre. Elle a commencé à faire de l’art parce qu’elle perdait régulièrement au Monopoly. Charlotte Hubert raconte des histoires, danse dans les discothèques napolitaines et observe le Mont Fuji.
En collaboration avec Clélia Barbut, sociologue et historienne de l’art rencontrée à la piscine municipale au cours d’un exercice d’abdos fessiers, elle a créé L’aquagymologie, une science du déraillement sous forme de conférences-performances visant à faire un état des recherches sur l’aquagym.
Enseignante en arts plastiques à l’Université catholique de l’Ouest et chargée de cours pendant cinq années au sein de l’université Paris 8, son cours s’intitulait : « Je suis à l’art comme la sardine est à l’huile ». Charlotte Hubert invente des fictions sans exploser de rire, expose et performe régulièrement son travail de façon organisée en France et à l’étranger.
Elle a été finaliste du prix des amis du Musée des Beaux-Arts de Nantes (2013) et du prix d’art contemporain François Schneider (2015). Depuis 2015, elle a performé l’aquagymologie dans différents lieux : Fondation Ricard, Musée des Beaux- Arts de Nantes, École du Louvre, Nuit Blanche 2021, Maison des arts de Malakoff, La Bellone : House of performing arts à Bruxelles, Université de Lille, Biennale des géographies féministes (…).

Elle a collaboré avec Florence Jou pour Bonimenter au ciné, une proposition performative à l’Institut National d’Histoire de l’Art ; avec David Christoffel dans le cadre d’Un amour Brahmsophobe une fiction radiophoniques diffusée par la Cité de la musique- Philharmonie de Paris. En 2017, elle présente son exposition personnelle Mais où sont passés les tritons ? à la Galerie Olivier Meyer à Nantes.